En prévision de l’événement du 27 avril sur le thème de la réparation, organisé par la FARCE, nous avons eu l’opportunité de visiter cette association fort sympathique et surtout très utile.
Le numérique actuel est dominé par des solutions propriétaires opaques diffusées par des gigantesques conglomérats étasuniens ou chinois. Ce modèle n’est ni durable, ni éthique. Il est entre autre construit autour de deux modèles économiques fort lucratifs : l’économie de rente et le capitalisme de surveillance.
Comme chaque année, itopie a tenu un stand à Alternatiba : une journée conviviale d’échange sur ce qui peut être entrepris pour un numérique soutenable.
Le numérique est un vecteur de dommages environnementaux et un consommateur de ressources naturelles. Pour qu’il puisse être une solution de limitation du réchauffement climatique, il est nécessaire de faire la balance des intérêts entre ses avantages et les risques de sécurité qu’il engendre. Conférence le 16 mars à l’UNIL Anthropole.
APRÈS – avec le soutien du Canton de Genève (Département de l’économie et de l’emploi), des SIG et grâce à l’expertise de la Haute école de gestion (HEG) – diffuse l’étude « Locali ». Son objectif est de contribuer à répondre aux ambitions du « Plan Climat », en posant la question suivante aux habitant·es du canton : quels biens et services de proximité souhaitez-vous trouver dans votre quartier, qui vous rendent à la fois service et vous permettent de diminuer votre empreinte écologique ?
Comment imaginer un développement de notre coopérative sans réellement croître ? Un modèle d’essaimage.
Comment essaimer itopie ailleurs sur le territoire ? En créant une association à Lausanne avec pour but la promotion d’une informatique plus responsable.
Le modèle est pour le moins rôdé : le jeudi 1er décembre à 18h, ce sera la 138ème soirée contributive au tiers-lieu ideaVOX. L’occasion cette fois-ci d’échanger autour de la promotion du libre à Genève. Mais pas que !
La troisième édition de la Fair Week aura lieu à Genève du 17 au 26 novembre 2022. Cette action vise à dénoncer l’aberration du Black Friday et à questionner nos habitudes de consommation.
Il ne s’agit pas de l’ouverture d’une succursale d’itopie à Lausanne, mais bien d’un projet pilote d’essaimage.